Dans un esprit de tolérance et d’échange, nous participons aux débats d’idées dans le domaine de la création en général et nous nous insérons dans les mouvements de la vie sociale. Ceci en évitant les débats stériles et les querelles d’école.
Playtime est un groupe "détonnant et plein d’énergie". Il a sorti un premier album, Wild Illusions, fin octobre 2010, salué comme très personnel, osant, et "revendiquant le droit à ne pas rester dans les sentiers balisés".
Les mois de mai et juin seront consacrés à notre opération annuelle de solidarité destinée à financer le projet social et culturel que "Ouverture Nord-Sud" a choisi d’épauler. Cette année il s’agit d’une école pour les nomades berbères du plateau de Bouzougar dans la région de Zagora.
Les actions directes de l’association visent principalement mais non exhaustivement l’alphabétisation des enfants des familles nomades et semi-nomades du désert de la région. Elle a ainsi créé déjà deux écoles (l’une dans la commune rurale de Mhamid El Ghizlane dans la région de Bouhjabe et une autre dans la commune rurale de Tagounite dans la région de Tafraoute.
Vernissage le 5 Mars de 14 à 18 hrs.
"La forêt est peuplée d’êtres inattendus,
de présences étranges,
j’ai eu la chance de les rencontrer"
M.Maquet
Photographies de Remy Saint-Cricq, liégeois de naissance vivant actuellement en Écosse, Nathalie Anneessens, étudiante en infographie, Manon Ghislain, lilloise, Michaël Muller, amoureux de la nature depuis toujours et Cédric Grégoire chef d’orchestre de cette exposition. Presque tous ont étudié l’infographie à la Haute École Albert Jacquard de Namur.
Il n’est pas inintéressant de lire la critique publiée par Le Monde , journal réputé de référence, à propos cette expo photo.
Nous ferons l’exercice, non pas avec la passion du photographe, mais avec une analyse littérale de la prose qu’un intellectuel peut déverser : car jamais de passion chez ce genre d’intellectuel à lunettes rouges, sauf l’ironie amère de celui qui aurait pu s’il avait voulu, de celui qui aurait fait autrement s’il avait été là. Un dépit que nous lui pardonnerions volontiers s’il ne se portait pas au secours d’idées aujourd’hui déchues.