Dans un esprit de tolérance et d’échange, nous participons aux débats d’idées dans le domaine de la création en général et nous nous insérons dans les mouvements de la vie sociale. Ceci en évitant les débats stériles et les querelles d’école.
Comment le présenter, sans être obligé de reprendre, mot pour mot, idée après idée, le texte magnifique et lumineux que lui a consacré Pierre Bastin. Vous m’en voudrez de n’en montrer que des extraits, mais c’est parce le peintre qu’était Pierre Bastin et qui s’exprime ici, a, dans son interview, par ses propos emportés, ses formules géniales et fortement significatives, été au coeur du travail de Jean Janssis. En allant chercher le substrat de l’homme-photographe-artisan, jusque dans ses tripes, jusque dans ses fondements, jusque dans la matière aussi, où il nous montre la corrélation évidente qu’il y a, entre celle-ci, apaisante ou torturée, et l’oeuvre d’un homme traversé par les doutes, les errements, la peur de la mort ... (Francis Cornerotte)
Un coup de chapeau à Jean Janssis qui présente deux expositions, coup sur coup, deux expositions, une au Centre Wallon d’Art Contemporain à la Châtaigneraie et une chez nous, à la Galerie photographique Ouverture, au théâtre Le Moderne.
La première vous surprendra, l’autre vous confortera avec ces œuvres de Jean qui ont pris un goût d’éternité, tellement leur facture nous est familière ; en même temps elles en côtoieront...
Aujourd’hui, après avoir payé pendant quatre ans le salaire d’un instituteur et construit son logement, au bénéfice d’ enfants semi nomades vivant dans le désert marocain (à 50 km de Zagora), nous aimerions pérenniser le projet en participant partiellement cette fois, au financement de l’instituteur (l’association marocaine mettant le complément)
Vernissage le 7 novembre de 14 à 18 hrs. Exposition accessible tous les samedis de novembre de 14 à 18 hrs.
« L’essentiel reste invisible ». Paradoxal pour une exposition de photos ? Non.
Je pense que c’est justement l’essence même de la photographie. Choisir un instant. Qui n’est qu’un jalon dans le temps. Et de fait, laisser les autres instants invisibles.
Tout ces autres moments qui forment, au fond, l’essentiel.
Mes photos se veulent indices. L’essentiel reste invisible.
Oeuvres des nominés du concours photographique organisé par l’asbl
« Sauvegarde et Avenir des Coteaux de la Citadelle » et remise des prix aux vainqueurs du concours.
En présence du photographe liégeois bien connu Vincent Botta qui exposera quelques unes de ses photos. Seront également exposées les photographies de Françoise Klauner sur le même thème des coteaux.
Découvrez si vous avez gagné.