D’où que l’on vienne …
Gérouville, village de Gaume
Photographies de Francis Cornerotte
Textes de l’écrivain Guy Denis
Aux Editions Noires Terres
En couleurs et noir et blanc / Au format carré 24 X 24 cm / 180 pages / Couverture rigide.
PAIEMENT SUR COMPTE AVANT L’ENLEVEMENT
BE44 0010 6251 3445
30 euros à la place de 33 euros jusqu’au 30 décembre.
ENLEVEMENT DU LIVRE AU DOMICILE
SUR RENDEZ-VOUS PAR TEL 04/ 226 18 70
Francis Cornerotte
99 RUE GENERAL COLLYNS
4000 LIEGE - cornerotte@gmail.com
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THEATRE LE MODERNE 1 RUE STE WALBURGE 4000 LIEGE
• Samedi 12 décembre de 14 à 18 h
• Samedi 19 décembre de 14 à 18 h
Possibilité de consulter le livre sur place : une personne à la fois.
Achat sur place possible mais versement sur compte recommandé.
Conditions de sécurité corona : entrée et sortie séparées …
NOTE D’INTENTION DU PHOTOGRAPHE
Commencé en 2004 pour fêter les 750 ans du village en 2008 - sous la forme d’une première exposition - je me devais de remettre ce travail photographique sur le métier afin de mieux saisir les accents gaumais de cette bourgade où nombre de mes parents ont grandi.
Au-delà du portrait idyllique que je pouvais faire de ce joyau méconnu de la Gaume, au-delà de mes souvenirs et de la modeste condition sociale que j’ai partagée et que je continue à partager en rendant hommage à ses habitants, je voulais « le tout » !
Soit dépeindre la vie de tous les jours et celle des intérieurs discrets ; cerner le travail harassant des bois et des champs, de la classe ouvrière des campagnes comme je me plais à l’appeler ; capturer les « fanf’harmonies » parcourant les rues traditionnelles aux maisons crépies serrées les unes contre les autres ; (re)mettre l’église classée au milieu du village, ainsi que le tilleul légendaire, la maison Jacmin, le domaine historique de La Soye et de ses forges qui, ayant perdu leur industriel ont par contre conservé l’aspect romantique de leurs étangs. Et puis il me fallait aussi les cérémonies et les fêtes populaires où l’on fait sauter allégrement le couvercle du travail ménager ou professionnel (et par la même occasion les capsules de la bière d’abbaye d’Orval qui n’est qu’à 7 km).
Aussi ces portraits serrés de gérouvilloises et gérouvillois, ces paysages dégagés chatoyants et ondulants, qui nous font voir la beauté plus féminine que masculine de la Gaume, au contraire de l’âpre Ardenne. Vous me direz si j’ai bien fait le tout et si j’ai atteint l’universel ?
Pouvoir vous présenter le portrait vrai de ceux qui font les petites histoires et la grande histoire de ce beau village et de cette région, au-delà de la postale et du plat régional ?
J’ai été aidé en cela, par les superbes textes de l’écrivain Guy Denis, qui partage avec moi ce respect et cette passion que nous avons tous, pour cette Gaume, que nous voulions dépeindre de manière authentique.et que nous voulions vous livrer, cliché après cliché, texte après texte.
Merci à Guy Denis pour cela !
Francis Cornerotte